jeudi 2 février 2012

Et nous serons sans mots


La viande avariée
de nos rêves
nous fera vomir
d'étranges cris mûrs

Christian Girard (c) 2012 

1 commentaire:

William Lessard a dit…

Je retrouve le même style admirable que dans "Scrapiture". J'adore ta poésie, elle me touche car elle ne prétend pas être autre que ce qu'elle est.